mercredi 28 mars 2007

Info-négo 28 mars

Il est 23h06 et notre équipe de négociateurs syndicaux n’est toujours pas revenue de la séance de négociation qui a débuté à 13h30 cet après-midi. La conseillère syndicale Céline Lalande a appelé vers 9h15 pour nous informer que le SCCCUL poursuivait la négociation et en particulier le dossier des superviseurs-es de stages. En ce qui a trait au salarial, cette question n’avait pas encore été abordée au moment de l’appel.

Dès son retour ce matin, le président du SCCCUL, Martin Courval a été accueilli fort chaleureusement par les membres du Conseil exécutif, qui ont été unanimes à accepter la proposition du comité de négociation à ce qu’il reprenne sa place comme porte-parole du SCCCUL, à la table de négociation.

Les militants et militantes du syndicat ont été fort actifs sur le campus tout au cours de la journée. D’abord une haie de chargés-es de cours en grève accueillait les automobilistes dès 8h30 ce matin à l’entrée de l’Université Laval, boulevard Laurier.

Puis à 11h, un sit-in et tintamarre avec plus de 75 militants et militantes ont causé un certain émoi au 5e étage du Vice-rectorat des ressources humaines, du Pavillon Bonenfant. Au cours de l’après-midi, les chargés-es de cours ont investi les étages des pavillons de Koninck, Palasis-Prince, Pouliot au rythme d’un tintamarre revendicateur et tonitruant. Des tracts portant sur les revendications salariales ont été distribués à cette occasion.

Appui du SPUL

Une excellente nouvelle nous est parvenue en fin d’avant-midi : un communiqué du Syndicat des professeurs et professeures de l’Université Laval (SPUL) ayant comme titre Le SPUL appuie le SCCUL.

« Le SPUL est particulièrement sensible aux demandes faites par le SCCCUL en ce qui a trait au rattrapage salarial et à certaines revendications en lien avec des conditions d’emploi favorisant un meilleur encadrement des étudiantes et étudiants au premier cycle.

Le SPUL souhaite que les parties puissent en arriver à une entente le plus rapidement possible de façon à éviter l’annulation de la session académique en cours. »

Nicole Blouin,
vice-présidente aux communications