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Taïeb Moalla
Le Journal de Québec
«Les espoirs d'en arriver à un règlement sont très bons», a indiqué Martin Courval, président du syndicat des chargés de cours de l'Université Laval, dont les membres sont en grève depuis le 14 mars.
Après une pause pour le congé pascal, les pourparlers ont repris à un rythme effréné, dès hier matin.
«Nous nous sommes rencontrés séparément avec la conciliatrice ce matin (hier). Et nous nous voyons face-à-face en après-midi», a précisé M. Courval.
Hier soir, vers 23 heures, les deux parties étaient toujours autour de la table des négociations. Aucune information supplémentaire, sur la teneur des discussions, n'a filtré.
Du côté de la Confédération des associations d'étudiants et d'étudiantes de l'Université Laval (CADEUL), Isabelle Barrette, chargée des communications, a rappelé la position de neutralité adoptée par la Confédération. «Mais ça commence à être urgent (d'en arriver à une solution)», a-t-elle signalé. Ce vendredi, un caucus des associations étudiantes permettra à la CADEUL de se prononcer de nouveau sur la position à prendre dans ce conflit de travail.
Le 3 avril, les chargés de cours ont rejeté à 80 % l'offre «finale» de la direction de l'Université. La question du rattrapage salarial avec les chargés de cours des autres universités constitue le principal point d'achoppement sur lequel butent les parties.
À l'Université Laval, le tiers des cours de premier cycle ne sont plus donnés depuis un mois. Dans un communiqué diffusé vendredi, l'Université a indiqué que des «mesures compensatoires» allaient être communiquées à tous les étudiants d'ici demain, au plus tard.
Après une pause pour le congé pascal, les pourparlers ont repris à un rythme effréné, dès hier matin.
«Nous nous sommes rencontrés séparément avec la conciliatrice ce matin (hier). Et nous nous voyons face-à-face en après-midi», a précisé M. Courval.
Hier soir, vers 23 heures, les deux parties étaient toujours autour de la table des négociations. Aucune information supplémentaire, sur la teneur des discussions, n'a filtré.
Du côté de la Confédération des associations d'étudiants et d'étudiantes de l'Université Laval (CADEUL), Isabelle Barrette, chargée des communications, a rappelé la position de neutralité adoptée par la Confédération. «Mais ça commence à être urgent (d'en arriver à une solution)», a-t-elle signalé. Ce vendredi, un caucus des associations étudiantes permettra à la CADEUL de se prononcer de nouveau sur la position à prendre dans ce conflit de travail.
Le 3 avril, les chargés de cours ont rejeté à 80 % l'offre «finale» de la direction de l'Université. La question du rattrapage salarial avec les chargés de cours des autres universités constitue le principal point d'achoppement sur lequel butent les parties.
À l'Université Laval, le tiers des cours de premier cycle ne sont plus donnés depuis un mois. Dans un communiqué diffusé vendredi, l'Université a indiqué que des «mesures compensatoires» allaient être communiquées à tous les étudiants d'ici demain, au plus tard.