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Les chargés de cours sont en grève depuis le 14 mars
Après une pause de deux jours, les pourparlers entre l'Université Laval et le syndicat des chargés de cours en grève doivent reprendre lundi.
Les négociations entre les deux partis avaient été suspendues samedi. Le syndicat avait alors accusé son employeur de s'offrir un congé de Pâques et de refuser le dialogue. Les représentants de l'Université avaient, quant à eux, justifié cette interruption par l'intransigeance du syndicat qui, disaient-ils, refusait d'accepter les compromis acceptables.
L'Université soutient que les tentatives de la conciliatrice du ministère du Travail pour rapprocher les deux parties se sont avérées infructueuses.
Selon un communiqué laconique émis dimanche par l'Université Laval, l'institution commence à désespérer qu'une entente soit enfin conclue avec le syndicat de ses 2 000 chargés de cours en grève depuis maintenant trois semaines.
Par ailleurs, étant donné le piétinement des négociations avec le syndicat des chargés de cours, l'Université Laval offre finalement deux options aux étudiants désireux de sauver leur session. Ces derniers peuvent, ou bien accepter les mesures mises en place par des professeurs-cadres, ou encore, obtenir un crédit sur les droits de scolarité afin de reprendre leurs cours à une autre session.
Les chargés de cours sont en grève depuis le 14 mars
Après une pause de deux jours, les pourparlers entre l'Université Laval et le syndicat des chargés de cours en grève doivent reprendre lundi.
Les négociations entre les deux partis avaient été suspendues samedi. Le syndicat avait alors accusé son employeur de s'offrir un congé de Pâques et de refuser le dialogue. Les représentants de l'Université avaient, quant à eux, justifié cette interruption par l'intransigeance du syndicat qui, disaient-ils, refusait d'accepter les compromis acceptables.
L'Université soutient que les tentatives de la conciliatrice du ministère du Travail pour rapprocher les deux parties se sont avérées infructueuses.
Selon un communiqué laconique émis dimanche par l'Université Laval, l'institution commence à désespérer qu'une entente soit enfin conclue avec le syndicat de ses 2 000 chargés de cours en grève depuis maintenant trois semaines.
Par ailleurs, étant donné le piétinement des négociations avec le syndicat des chargés de cours, l'Université Laval offre finalement deux options aux étudiants désireux de sauver leur session. Ces derniers peuvent, ou bien accepter les mesures mises en place par des professeurs-cadres, ou encore, obtenir un crédit sur les droits de scolarité afin de reprendre leurs cours à une autre session.